Magazine Sillage n°230 – Tribune du groupe des élu.e.s communistes

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Solidarité avec les étudiant.e.s

Le coût de la vie étudiante en France explose. C’est ce que relèvent les syndicats étudiants dans leur enquête annuelle. A Brest, on constate une hausse significative du coût de la rentrée pour un étudiant de l’UBO.

Alors qu’un étudiant sur cinq vit sous le seuil de pauvreté et qu’un étudiant sur deux est contraint de se salarier pour pouvoir financer ses études, les effets de la crise sanitaire risquent d’accroitre durablement ces phénomènes de précarité si rien n’est fait.

Des solutions existent déjà pour lutter contre la précarité étudiante. D’autres sont à construire, au plan national comme au plan local :

  • La création d’un salaire étudiant à hauteur minimale du SMIC.

Garanti à tous ceux qui suivent des études, il permettrait à chacun de vivre dignement et d’apprendre dans de bonnes conditions.

  • La fourniture gratuite de masques.

L’achat des masques pèse lourdement sur les finances des étudiants. Il est essentiel que chacun bénéficie gratuitement de ces outils de protection pour se rendre en cours. Sur ce point, la ville s’est engagée à fournir gratuitement à chaque Brestois deux masques lavables et réutilisables. Nous invitons les étudiants résidant à Brest à se rapprocher de leur mairie de quartier pour pouvoir en bénéficier.

Néanmoins, nous exigeons que le coût des masques soit intégralement pris en charge par l’Etat car ce sont des outils de protection sanitaire indispensable et obligatoire.

  • L’accès facilité aux transports.

L’accès aux transports, élément indispensable de la vie quotidienne, représente un coût non négligeable pour les étudiants brestois.

La progression des tarifications solidaires récemment mise en place pour tous les moins de 26 ans est une avancée. Au regard des effets économiques et sociaux immédiats de la crise sanitaire, ne faudrait-il pas maintenant aller plus vite et plus loin quant à la mise en place d’une véritable gratuité sociale pour les étudiants les plus précaires ?

Le groupe des élu.e.s communistes

Eric GUELLEC, Mathilde MAILLARD, Jacqueline HERE, Jean-Michel LE LORC’H, Sandra LE ROUX, Taran MAREC, Anne-Catherine CLEUZIOU, Claudie BOURNOT-GALLOU

Le groupe des élu.e.s communistes de la ville de Brest pour le mandat 2020-2026

COPIE

Les adjoint.e.s et les conseiller.ère.s pour la ville de Brest :

Eric Guellec, 2ème adjoint en charge de la dynamique associative, des relations avec les équipements de quartier, les acteurs de l’éducation populaire, les associations patriotiques et les anciens combattants
Mathilde Maillard, 11ème adjointe en charge de la politique du bien vieillir, de l’inclusion des personnes en situation de handicap
Jacqueline Héré, 17ème adjointe en charge du quartier de Bellevue
Jean-Michel Le Lorc’h, Conseiller municipal pour la ville de Brest
Sandra Le Roux, Conseillère déléguée : Développement du sport dans les quartiers
Taran Marec, Conseiller délégué : Vitalité de la langue bretonne, charte « Ya d’Ar »
Anne-Catherine Cleuziou, Conseillère municipal pour la ville de Brest

Une photo du groupe des élu.e.s communistes métropolitains sera publiée à la rentrée de septembre.

Rassemblement contre le racisme et les violences policières

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L’onde de choc provoquée par la mort de George Floyd, cet Africain-Américain asphyxié par un policier blanc à Minneapolis le 25 mai, dépasse le seul cadre des États-Unis et l’indignation résonne par exemple fortement en France en donnant une nouvelle impulsion à la lutte menée contre les violences policières.

Les manifestations se multiplient depuis l’appel lancé par le collectif « Justice pour Adama », du nom de ce jeune homme mort dans le Val-d’Oise en juillet 2016 à la suite d’une interpellation.

Pour les communistes, la police est un service public qui doit avoir les moyens de mener ses missions dans le respect des citoyens. Pour le PCF il faut lancer un grand plan national de lutte contre le racisme et les discriminations.

Nous proposons notamment un renforcement des sanctions, des campagnes de communication inédites et une formation des agents publics, singulièrement des forces de l’ordre, à la lutte contre tout propos ou acte raciste particulièrement sur les réseaux sociaux et à l’accueil des victimes du racisme.

A Brest, les communistes ont participé au rassemblement initié par plusieurs organisations syndicales contre le racisme et les violences policières, pour la justice et le vivre ensemble, aujourd’hui, mercredi 10 juin à 14 heures.

TRIBUNE – Pour un renouveau du service public d’Éducation

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Pour un renouveau du service public d’Éducation : enseignants, associations, collectivité… À Brest, tous mobilisés !

ART 28 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant : « Les États parties reconnaissent le droit de l’enfant à l’éducation, et en particulier, en vue d’assurer l’exercice de ce droit progressivement et sur la base de l’égalité des chances – ils rendent l’enseignement primaire obligatoire et gratuit pour tous  – ils encouragent l’organisation de différentes formes d’enseignement secondaire, tant général que professionnel, les rendent ouvertes et accessibles à tout enfant, et prennent des mesures appropriées, telles que l’instauration de la gratuité de l’enseignement et l’offre d’une aide financière en cas de besoin… »

La crise sanitaire a d’abord été marquée par la période du confinement où les acteurs de terrain ont tenté d’inventer une continuité pédagogique à distance la plus efficace possible, sans pour autant éviter le décrochage logique d’une partie des élèves. Le retour à l’école se fait dans le cadre d’un protocole sanitaire très strict qui impose de prioriser l’accueil des élèves mais selon des critères qui sont facteurs de confusion : d’une part le volontariat affiché des familles et d’autre part la définition de publics de natures très différentes, telles que l’activité professionnelle des parents et la situation de décrochage des élèves. La situation est d’autant plus complexe que les équipes pédagogiques doivent articuler collectivement et dans l’urgence un enseignement à la fois en présentiel et en distanciel.

Dans le même temps, le ministre de l’Éducation nationale déclare vouloir promouvoir le développement dans le temps scolaire d’activités 2S2C (sport, santé, culture, citoyenneté) en ouvrant largement les portes de l’école à des intervenants de toute nature : clubs sportifs, artistes mais aussi organismes marchands bien au-delà des associations complémentaires de l’école traditionnellement agrées pour ce faire. L’Éducation nationale souhaite par ailleurs déléguer l’organisation de cette partie du temps scolaire aux collectivités territoriales, pour assurer ces activités 2S2C. Les collectivités peuvent à leur tour, les déléguer aux intervenants évoqués ci-dessus.

À l’heure des remises en question du système politique, économique, social et éducatif, les choix qui seront faits pour remettre liant et sens dans le projet éducatif, préfigureront la société qui en émergera.

A ce stade, se posent 3 types de problèmes préoccupants :

  • L’externalisation d’activités (sport, culture, citoyenneté) qui doivent rester au cœur des pratiques pédagogiques de l’école et des enseignants et qui participent du socle des savoirs fondamentaux, en complémentarité de ce qui peut se faire en dehors de l’école
  • L’irruption dans le temps scolaire d’intervenants sans aucune garantie pédagogique, ni conditions d’agrément qu’offrent depuis plusieurs décennies les réseaux d’éducation populaire, partenaires de l’école publique
  • Le risque d’être source d’immenses inégalités tant les moyens dont disposent les villes sont disparates. Aux situations financières qui sont antérieures à la crise sanitaire, il faut en effet ajouter l’évolution différenciée de l’épidémie sur le territoire. Ça n’est pas la compensation financière annoncée par le ministre, qui est de l’ordre de 110€ par jour et par groupe de 15 enfants, qui rattrapera ces inégalités. Les coûts réels sont en effet de plus du double de cette somme.

Plus grave, lors de son intervention au Sénat le 19 mai dernier, Jean-Michel Blanquer indique que cette organisation devrait préfigurer la rentrée de septembre 2020. Ces déclarations soulèvent une vive inquiétude parmi les représentants de collectivités territoriales, les syndicats enseignants, les associations d’éducation populaires, les représentants de parents d’élèves,…

Si la crise sanitaire a de fait obligé à modifier le fonctionnement de l’École, l’institutionnalisation de mesures conjoncturelles prises en urgence, remettrait en cause les principes fondateurs de notre école républicaine. Nous savons depuis longtemps que l’externalisation d’une partie du travail scolaire dans les familles est une source d’inégalités, ce que la crise, à travers l’école à distance, n’a fait que confirmer en amplifiant ces fractures.

Nous croyons fermement à une approche globale de l’Éducation qui s’appuie sur la complémentarité éducative entre l’École et ses partenaires. Nous pensons  que l’abandon de l’école obligatoire, la réduction des temps scolaires, et la délégation d’une partie de ses missions ne répondent nullement à cette complémentarité et font courir un grave danger au service public de l’éducation.

Les choix effectués à Brest de mettre en place une organisation exceptionnelle pour accueillir de nombreux enfants sur le temps scolaire sont clairs:

  • les 2S2C ne peuvent être conçus que sur la seule période située entre le confinement et les vacances scolaires d’été pour répondre à l’urgence.
  • les 2S2C ne peuvent être réalisés que sous le pilotage de l’Éducation nationale en collaboration active avec la collectivité et les associations agréées (associations d’éducation populaire œuvrant régulièrement aux côtés de l’École publique,…)
  • les 2S2C ne peuvent être un prétexte au démantèlement à partir de la rentrée de septembre du service public d’éducation et à des autorisations d’écoles pilotées par le secteur marchand 

L’École est l’institution ou s’articulent le commun et le particulier. Elle ne peut pas se résumer à la seule acquisition de savoirs fondamentaux conçus de façon réductrice.

Le pédagogue ne se confond pas avec le support pédagogique. On ne le remplace pas par un support de transmission, encore moins unique en cas de besoin, comme le numérique par exemple.

L’École est un lieu éminemment social, un lieu de cohésion, un lieu de vivre-ensemble qui développe la collaboration et la solidarité. Elle ne se réduit pas à l’instruction, elle éduque. C’est sous cette forme qu’elle doit être préservée et développée.

C’est pour cela que les signataires de cet appel se mobiliseront pour défendre, redéfinir et promouvoir une école d’après, œuvrant réellement à la réussite de tous les enfants.

Les 20 premiers signataires : Didier Bélier, Président Ligue de l’enseignement 29 – David Bellanger, Directeur Cemea Bretagne – François Cuillandre, Maire de Brest – Olivier Cuzon, Secrétaire départemental Sud éducation – Hervé Floc’h, Délégué départemental Sgen-Cfdt – Eric Guellec, Adjoint au Maire de Brest délégué aux relations avec les associations – Yannick Hervé, Sg Ligue de l’enseignement Bretagne – Emilie Kuchel, Adjointe au Maire de Brest chargée de la politique éducative locale – Marielle Lecomte, Vice-présidente Frmjc Bretagne – Diane L’hérondelle, Présidente Francas 29 – Sabrina Manuel, Secrétaire départementale Snuipp – Jean-François Marceau, Coordinateur Dden Brest – Florent Martinie, co-secrétaire départemental Fsu – Yves Pasquet, Secrétaire départemental Snes – Gwenaëlle Pouliquen, Présidente Usep29 – Nicole Poulmarch, Présidente Dden29 – Anne Seven, Secrétaire départementale Se-Unsa – André Schleret, Président Société des patronages laïques municipaux Brest – Nelly Vivien, Directrice Francas 29

Présentation des voeux 2020 de Jacqueline Héré – Adjointe au Maire de Brest, chargée du quartier de Bellevue

bonne année 2020

  « Bonjour et merci à vous toutes et tous et aux élus d’avoir répondu à mon invitation.

Ce début d’année est un moment privilégié pour revenir sur les réalisations de 2019 et évoquer les projets.

Bellevue en 2019 :

La vie du quartier de Bellevue a été riche grâce à l’implication de toutes et tous (habitants, associations, services de la ville et de la métropole ainsi que les partenaires très impliqués comme l’éducation nationale, la CAF, le CDAS…).

Pour commencer, vous trouverez sur le livret remis à votre arrivée un récapitulatif des travaux (voirie et espaces verts) réalisés sur l’espace public sur l’enveloppe travaux de proximité qui sont définis lors de réunions de Gouvernance de l’Espace Public, dont celle du dernier trimestre à laquelle participent en plus des services, trois habitants membres du Conseil Consultatif du Quartier. Merci à vous toutes et tous pour votre implication à améliorer le cadre de vie des habitants.

Améliorer le cadre de vie c’est également agir sur la tranquillité au quotidien et l’action de chacun et de tous est essentielle. Aussi, nous continuons notre action dans le cadre du contrat local de sécurité qui réunit le Maire, le Préfet, le Commissaire et le Procureur. Nous collaborons sur le territoire lors de nos rencontres à la GPO (groupement partenarial opérationnel) anciennement appelée cellule de veille avec la Police, les médiateurs, BMH, la déléguée du Préfet, les services de la collectivité, mairie de quartier et service tranquillité. A ces rencontres d’autres personnes peuvent être invitées selon l’actualité (habitants, commerçants, collèges, structures de quartier, médiathèques…). Je remercie donc tous ces partenaires qui nous accompagnent.

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Je souhaite également faire un retour sur les animations qui ont rythmées l’année 2019 grâce à l’investissement du collectif Bellevue animation, avec le « Dimanche au bord de l’eau » qui s’est déroulé sur les rives le 23 juin dernier et qui malgré une matinée pluvieuse a attiré les foules, tant des habitants (enfants, familles, anciens) de Bellevue que de tout Brest. Un très beau Dimanche, la convivialité, une offre de spectacles culturels, des ateliers, des activités sportives, ludiques et un point sur la concertation en cours sur le quartier. Le deuxième rendez-vous est plus récent avec l’animation « Noël ensorcelle la Baraque » qui a enchanté les nombreux participants, notamment les enfants dans un décor féerique. Des costumes, des ateliers… Un Noël de douceur et de poésie.

Le Projet Educatif et Citoyen sur Bellevue montre une belle dynamique partenariale avec de nombreux projets qui ont été menés en 2019, permettez-moi d’en citer quelques-uns comme la formation à la communication non violente à destination des enseignants, animateurs… avec comme objectif d’outiller les co éducateurs du territoire face aux situations parfois difficiles. Le projet les Z’ani mots qui permet grâce à la présence et le soin aux animaux d’apaiser les comportements des enfants, le travail artistique dont vous pouvez admirer une des réalisations exposée ce jour dans la Baraque (travail en lien avec les studios Fantôme et la Maison de quartier, Centre social et le patronage laïque du Bergot), mais aussi le projet DEMOS dans les écoles, les projets de captations vidéos et sonores, les animations sportives de rue, le Brest Sport Tour, l’accompagnement des collégiens de Kerhallet dans la recherche du stage de 3ème

Le CCQ a poursuivi son travail sur les différentes thématiques : cadre de vie (une demande de travaux à leur initiative est d’ailleurs inscrite en programmation pour 2020), animations, culture patrimoine avec de nombreuses réalisations, participations et projets (médiation culturelle, des balades , et la création d’ un guide des balades…) et communication, groupe qui collabore avec « Parlons-en » au site et au journal du quartier, avec là aussi un travail de refonte du site pour plus d’attractivité avec un financement contrat de ville.

« Bellevue fait le mur » poursuit son œuvre sur le quartier avec comme dernière réalisation, en partenariat avec l’UBO une fresque nommée « Graffiti »sur l’amphi de droit à Kergoat.

Les mouvements citoyens, les gilets jaunes ont montré le besoin des habitants d’avoir la parole.

A Bellevue, à Brest depuis longtemps les habitants sont associés aux projets, soit aux projets initiés par les collectivités ou à ceux menés à l’heure initiative.

A Bellevue avec l’opération de renouvellement urbain, la participation a pris de l’ampleur (diagnostics en marchant, réunions publiques, ateliers).

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L’Agence Nationale de renouvellement urbain a reconnu l’intérêt de notre projet et l’excellence de notre démarche participative. A ce titre elle nous accompagnera financièrement dans la réalisation ainsi que dans la poursuite de la concertation. Le coût total du projet toutes maîtrises d’ouvrage confondues s’élève à 185 M€ (sans le TCSP). Nous bénéficions de subventions d’un montant de 39,3 M€ soit 20 %, 80% des investissements seront donc portés par les maîtrises d’œuvre locales.

Il s’agit d’un projet mis en œuvre sur 10 ans et sur 3 polarités :
– Bergot, Provence, Gascogne
– Napoléon 3, Kergoat, Kerhallet
– Kerbernier, Lanredec, le Campus

Des opérations sont déjà réalisées, le terrain synthétique au Bergot, qui sera inauguré le 15 février.

La place de Metz, les travaux sont en cours, les arbres seront plantés prochainement.

Pour rappel trois ateliers de concertations ont été menés en 2019 pour définir avec vous le projet ambitieux de cette place :

  • Au niveau écologique : Déconnexion des eaux pluviales du réseau unitaire par la création d’un bassin d’infiltration dans le sol et la création d’une noue sur la place.
  • Au niveau vie de quartier :
    Une place plus attractive avec une aire de jeux plus grande et une offre diversifiée. 

    – Des espaces mieux partagés et des circulations améliorées pour tous les usages et les âges, du mobilier urbain novateur.
    – Une ambiance espaces verts très importante avec des espaces engazonnés, des plantations d’arbres, d’arbustes et de fleurs comme vous l’avez souhaité lors des concertations.
    – Coût de l’opération 455 000 €.

Bellevue en 2020 :

Des études et des concertations vont se poursuivre sur différents sujets et différents secteurs comme la concertation sur le Bergot (dont la dalle), l’étude pour la requalification de la copropriété commerciale Napoléon 3, la mise en couleur de cette place, la définition du projet de Pôle social, culturel et citoyen ( Médiathèque, Mission locale et le Centre social). Je suis heureuse de revoir Laure Coat sur ce dossier. L’étage du Centre commercial accueille déjà la Licence d’Art de l’UBO et par la suite un pôle ESS.

Des travaux sur tous les gymnases du quartier sur plusieurs années.

Au-delà de l’ORU, d’autres travaux ont été réalisés (un nouveau parking à l’arrière-garde, l’installation de panneaux photovoltaïques dans les écoles Quizac et Dupouy et le ravalement de l’école de Kerhallet).

D’autres travaux sont prévus ou en cours (la rénovation énergétique sur l’école Aubrac qui sera suivie par celle de Langevin, l’isolation de deux immeubles copropriétés privées avec le soutien de la Métropole, la mise en place de conteneurs enterrés à Kergoat, au Bergot…)

Des travaux sur la place Napoléon 3 pour le respect de la réglementation sur cet espace partagé, de nouveaux marquages au sol, des portiques aux entrées de la place, normalement avant l’été.

Des travaux d’isolation thermique sur la mairie de Bellevue accompagnés d’un renouvellement de la façade.

D’autres en lien avec le budget participatif, la liste des projets sont à votre disposition ainsi qu’une urne pour voter.

Tout se fera en lien avec les autres projets tels que l’extension du réseau de transport en commun (tramway), le Cœur de Campus.

Je remercie les habitants, les commerçants, les professions libérales, les associations qui se sont engagés nombreux dans cette démarche.

Nous devons prolonger cet engagement, la participation du plus grand nombre sera garante de la réussite du projet. Je souhaite continuer à travailler avec vous pour construire le Bellevue de demain.

Je remercie tous les partenaires et institutionnels du quartier, les services des collectivités qui nous accompagnent.

Je remercie François Cuillandre et tous les élus qui s’engagent pour Bellevue. Francois qui met régulièrement en avant le travail des maires de quartier, des mairies de proximité aux services de tous.

J’aurai un merci tout particulier pour celles et ceux qui travaillent à la mairie de Bellevue, un quartier prioritaire de la politique de la ville, un quartier dans lequel depuis plus de deux ans une démarche importante est menée en lien avec l’ORU. Une lourde charge pour toutes et tous

Meilleurs vœux, bonheur, santé à vous et à vos proches. »

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La budget participatif, saison 2

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Il ne reste plus que quelques jours pour soutenir vos coups de cœur dans le cadre du budget participatif.

Les services de la collectivité en lien avec les porteurs de projets traduisent les idées en projets et s’assurent que les 40 projets présélectionnés sont faisables au plan juridique et technique, et qu’ils peuvent être lancés en 2020. Les projets sont estimés financièrement. Lors de cette phase d’instruction, il est possible que les idées de départ évoluent. Ces évolutions se font en concertation avec les porteurs de projet.

Si vous souhaitez les soutenir, plusieurs solutions :

– En ligne sur la plateforme de la Ville https://jeparticipe.brest.fr/accueil-1063.html
– En remplissant les bulletins papiers à l’accueil de l’hôtel de ville, de l’hôtel de métropole, du CCAS, mais aussi dans les mairies de quartier, les médiathèques et dans les urnes mobiles disponibles sur l’espace public.

Fin des votes le 30 janvier.  A vos bulletins !!

 

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