La Loi Logement et la baisse des APL : l’insécurité sociale généralisée !

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Brest, le 21 septembre 2017

La Loi Logement et la baisse des APL : l’insécurité sociale généralisée !

Nous avons suivi avec attention hier matin la présentation des contours de la Loi Logement. Force est de constater que les annonces ne laissent plus place au doute. Cette réforme est assurément celle de la précarisation sociale généralisée. Elle marque une nouvelle attaque contre les classes moyennes et contre les familles les plus modestes.

Nous sommes particulièrement choqués par la violence sociale des mesures visant à baisser les aides personnalisées au logement des locataires HLM. Ce ne sont pas moins de 6,5 millions de bénéficiaires, les plus modestes et les plus fragiles, qui vont être frappés au portefeuille. Parmi eux, 800 000 étudiants et des millions de familles modestes. Faut-il rappeler qu’un étudiant sur 4 vit sous le seuil de pauvreté ? Faut-il rappeler qu’une personne au RSA ne dispose que de 58 euros par mois pour vivre une fois les dépenses courantes déduites, 2 euros par jour ?

Pour tenter de faire bonne mesure, le Premier Ministre et le député brestois Larsonneur indiquent que cette diminution des aides serait compensée par une baisse des loyers, notamment des offices HLM, et serait donc indolore pour les locataires… C’est un mensonge éhonté !

En réalité, ces sommes prélevées sur les budgets des bailleurs sociaux, dont Brest Métropole Habitat fait partie, seront autant d’investissements en moins pour améliorer et entretenir le parc de logements existants. Elles seront autant d’investissements en moins pour produire de nouveaux logements sociaux alors que la demande n’a jamais été aussi forte à Brest !

Pour Brest Métropole Habitat, le calcul de cette saignée est simple : 7,1 millions d’euros de recettes en moins chaque année alors le Conseil d’Administration vient de voter un plan d’investissement de plus 570 millions d’euros sur 10 ans pour répondre à la forte demande de logement à bas coût sur le bassin brestois.

Si cette mesure est confirmée, elle est un coup fatal assuré à l’activité des bailleurs sociaux. Brest Métropole Habitat est menacé.

Et pourtant, contrairement au CAC 40, nul actionnaire, ni dividendes versés : BMH est un organisme à but non lucratif. Ces fonds propres sont uniquement destinés à la construction de nouveaux logements, à la rénovation du parc, à l’équipement des logements, très concrètement au remplacement des chaudières, à l’entretien des ascenseurs, au bien-être de ses 17 000 locataires !

Par la baisse des APL et le surcoût supporté par les offices HLM, les locataires d’HLM seront doublement pénalisés ! Dans leur pouvoir d’achat et sur le niveau d’entretien de leur logement.

Ces annonces du Gouvernement sont aussi un sérieux coup porté à l’emploi et à l’économie sur le pays de Brest, en particulier dans le secteur du BTP. Aujourd’hui, BMH remplit une large partie de ces carnets de commande avec les entreprises locales. Rappelons que le Finistère, c’est 17 000 emplois et 6300 entreprises dans la Construction.

Ces mesures démontrent en tout cas la volonté farouche du Gouvernement de sacrifier les locataires les plus modestes alors même qu’il prévoit de diminuer l’impôt sur la fortune de 3 milliards d’euros ! Le monde de Macron et Cie n’est décidément pas le nôtre et nous l’invitons à renouer avec les réalités sociales de notre pays.

Nous participerons à toutes les actions et prendrons toutes les initiatives pour empêcher la mise en place de cette réforme profondément injuste. Claude Bellec, élue communiste à la Ville de Brest et administratrice de BMH, se rendra la semaine prochaine au Congrès de l’Union sociale pour l’habitat pour soulever ces questions.

Le Groupe des élu-e-s communistes de la Ville de Brest et de Brest Métropole

J-M Le Lorc’h lance un appel à volontaire pour le renouvellement des Conseils consultatifs de quartier

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« Madame, Monsieur,

Les élus communistes ont compris très tôt que le champ des décideurs politiques devait être élargi, au niveau local comme au niveau national, et que la représentation politique devait se faire dans un dialogue permanent avec les habitants.

Les Conseils consultatifs de quartier, dont je suis chargé de l’accompagnement, favorisent avant tout cette intervention citoyenne dans les politiques publiques. Ils favorisent la collaboration autour des projets de demain.

Ces dispositifs participatifs ambitieux participent à prolonger et renforcer la cohésion sociale de notre ville. Plus encore, ils nous forcent, nous élu-e-s, à nous renouveler sans cesse dans nos manières d’agir, en lien étroit avec la population. Car c’est bien cela l’enjeu, repositionner le rôle des citoyens, des services municipaux et des élu-e-s pour construire ensemble.

A ce titre, je tiens à remercier toutes celles et ceux qui ont participé ces dernières années à ces instances. Votre engagement dans ces démarches a contribué à faire de Brest une ville plus forte et plus solidaire. Nous souhaitions vous en remercier car grâce à vous ces instances sont devenues des espaces de dialogue et de concertation sur des sujets de la vie quotidienne, sur l’évolution et le renouvellement urbain de nos quartiers. Je pense particulièrement aux quartiers populaires de Brest où l’intérêt démocratique est prégnant, et où cette effervescence est sans aucun doute l’un des remèdes au repli sur soi. Je sais aussi le travail des services des mairies de quartier pour mettre en musique toutes ces bonnes volontés.

Car l’action des Conseils consultatifs de quartier a été une fois de plus riche en 2016. 3 forums ouverts se sont déroulés et ont réunis plusieurs centaines de personnes (Aménagements, Cadre de vie, Bien Vivre ensemble). Le Forum « Aménagement » a permis d’aborder les différents projets de renouvellement urbain (notamment concernant le quartier de Bellevue) à venir sous l’angle de l’Habitat, des Déplacements, du Commerce…etc. Des groupes inter-quartiers ont vu le jour sur des sujets variés, que cela soit le Plan Climat, le stationnement payant ou le plan Piéton. Mais les CCQ portent également des actions ponctuelles concrètes. A Bellevue, des balades commentées du bord de Penfeld ont été organisé en lien avec les écoles. A Saint-Marc, la soirée musicale « Keruscun en septembre » a une fois de plus attirée tous les amateurs de musique.

Toutes ces actions démontrent que vous avez été à l’origine d’initiatives originales, vous avez créé du lien et du liant entre tous les brestois. Votre attention à privilégier l’intérêt collectif est une vraie force motrice pour notre territoire.

L’histoire va continuer car dès le mois d’octobre nous entamons le renouvellement des CCQ. A ce titre, je compte sur vous pour poursuivre cet engagement au service de l’intérêt général.

Pour élargir encore ces espaces de participation, nous serions très intéressés par toutes les propositions que vous pourriez formuler pour accueillir de nouveaux membres.

A bientôt,

Jean Michel Le Lorc’h »

Jacqueline Héré s’exprime sur les rodéos à Bellevue

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« Nous comprenons l’exaspération des habitants de l’avenue de Tarente. Le comportement de certains usagers de cette voie est non seulement dangereux pour les conducteurs mais également pour l’ensemble des habitants et trouble gravement la vie du quartier.

 Cependant, bloquer physiquement l’avenue pose bien entendu des problèmes juridiques mais est aussi tout autant une situation à risque.

Nous tenons à rappeler que les seuls habilités à intervenir sont les forces de police. Nous saluons d’ailleurs leur investissement sur le quartier ces derniers jours afin d’identifier les conducteurs à risque, de diligenter des procédures et de saisir les engins.

Afin d’accélérer le dénouement de cette situation, qui concerne aujourd’hui des dizaines de villes en France, nous invitons comme d’habitude les habitants à nous faire part des incivilités et des comportements à risque dont ils sont témoins comme cela a été le cas lors de la réunion en mairie le 18 juillet dernier. Car, en partenariat avec les acteurs locaux, habitants et associations, seules la police et la municipalité sont à même de résoudre la situation, chacune dans son rôle.

La ville de Saint Nazaire a récemment décidé d’inviter les communes subissant ce type de nuisance à travailler collectivement sur des solutions. Nous sommes évidemment attentifs à cette initiative. »

Jacqueline HERE, Maire-Adjointe en charge du quartier de Bellevue.

Un été culturel au Relecq-Kerhuon

Kerhorre

Nous fêtons cette année les 10 ans des Piques-Niques Kerhorres.

Cinq Pique-Niques sont ainsi proposés cette année dans différents endroits remarquables de la commune, l’occasion de les découvrir, ou re-découvrir dans une ambiance festive. Le premier s’est déroulé samedi 15 Juillet dernier, accueillant plus de 1500 personnes, et lançant le programme estival du Relecq-Kerhuon!

Désormais très attendu des habitants du Relecq-Kerhuon, mais également de toute la Métropole, les Piques-niques Kerhorres sont devenus un rendez-vous incontournable. Au programme, des concerts, des spectacles de rues, de la convivialité et le tout gratuitement.

A la baguette, votre élue communiste Isabelle Mazelin, élue métropolitaine, adjointe aux affaires culturelle au Relecq-Kerhuon. Les prochaines dates:

Mardi 25 Juillet : Le pique-Nique Urbain

Dimanche 6 Août : le Pique-Nique Botanique

Samedi 19 Août : Le Pique-Nique Prête à Danser

Dimanche 10 Septembre : Le Pique-Nique sur le Pont

La Programmation

 

L’article du Ouest France du 11/07/2017:

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L’article du télégramme du 17/07/2017:

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Discours d’ouverture de la semaine contre le mal-logement

Claude

Claude BELLEC est intervenue ce mardi 04 avril à l’occasion de la « Semaine du mal-logement ». Brest a été retenue par la fondation Abbé-Pierre pour organiser une journée durant laquelle des tables rondes et des stands permettaient de présenter ce qui se fait dans la métropole pour lutter contre le mal-logement. Métropole qui a fait du mal-logement un des axes prioritaires durant ces dix dernières années en proposant une politique facilitant l’accès a un logement digne pour tous. Ce fut également l’occasion pour l’association de présenter son 22ème rapport sur l’état du mal logement en France.

Voici le discours qu’elle a prononcé :

« Bonjour et bienvenue à toutes et à tous.

Merci à la Fondation Abbé Pierre d’avoir choisi la mairie de Brest, pour ses actions dans le cadre de la semaine contre le mal logement.

Nous sommes heureux de vous y accueillir aujourd’hui.

Ce forum des initiatives solidaires sur la lutte contre le mal-logement va, par la richesse de ses débats et la qualité de ses intervenants, être un succès et nous faire avancer ensemble, j’en suis persuadée.

A ce titre je remercie toutes les associations présentes aujourd’hui. Je ne les nommerai pas, j’aurai peur d’en oublier. Elles sont nos partenaires et elles permettent chaque jour par leur dynamisme, la mise en œuvre d’actions innovantes pour lutter contre le mal logement et la précarité. Vous pourrez les rencontrer, échanger avec elles toute la journée, sur leur stand, dans les allées de ce forum.

Cette année marque les 10 ans de la disparition de l’Abbé Pierre. Résistant dans le Vercors, député, militant associatif, il a toujours consacré sa vie aux plus démunis. L’Abbé Pierre s’était engagé avec humilité pour l’humanité et ses mots de l’hiver 54 appelant à l’insurrection de la bonté sont encore dans nos mémoires. 63 ans après la lutte contre le mal-logement continue d’être indispensable.

Les enjeux sont énormes, car le fait de ne pas avoir de logement, ou de vivre dans un logement indécent voire insalubre, est un facteur majeur d’accroissement des inégalités.

Dans la 1ère table ronde nous aurons l’occasion de revenir sur l’Etat du mal logement en France, son aggravation, puisque sont touchées  aujourd’hui, non seulement les classes populaires, mais aussi les classes moyennes, et que le désengagement de l’Etat ne cesse d’augmenter, même si la loi SRU sur les logements sociaux est devenue plus pressante et plus coercitive pour les communes réfractaires.

Parce que le logement social est le moyen le plus sûr de rendre concret le droit au logement.

On mettra aussi à l’actif de l’État, la loi sur le droit au logement opposable (DALO). Là  aussi c’est une grande avancée.

Brest et sa métropole ont fait de cette lutte contre l’exclusion par le logement (une parmi les autres) une priorité depuis de nombreuses années. En effet nous savons que faciliter l’accès au logement digne pour tous est le pivot de toute politique progressiste de l’Habitat

BMH (Brest métropole Habitat) et l’ensemble des organismes HLM présents sur le territoire se mobilisent pour proposer  et produire des logements destinés à la location et à l’accession sociale à la propriété, avec pour objectif de la diversité, de la qualité, de la solidarité (handicap, personnes âgées, jeunes, habitat participatif, pensions de famille).

Nous devons répondre aux besoins d’une population de plus en plus précaire et aux revenus souvent très bas et nous souhaitons leur proposer comme à tous,  un logement digne. La rénovation énergétique est un de nos axes d’intervention, car se chauffer devient pour certains de plus en plus dur.

Nous agissons pour améliorer ce qui existe déjà et nous produisons des logements neufs.

Dans le cadre d’un dispositif regroupant l’ensemble de nos partenaires, dont la Fondation Abbé Pierre fait partie, la CASAL, (Commission d’Accompagnement Social et d’Accès au Logement) nous mettons en œuvre une politique volontariste, et  ce depuis déjà longtemps en matière d’hébergement d’urgence, d’hébergement temporaire, de logements d’insertion et d’habitat adapté, d’hébergement pour les demandeurs d’asile.

Des publics qu’avec l’aide des travailleurs sociaux et des associations, nous accompagnons vers l’insertion et l’autonomie.

Quelques chiffres pour 2016 : la CASAL a traité 800 dossiers, a fait 125 propositions de relogements, a fait 99 admissions de ménage en CHRS.

En tout ce sont environ 1500 places estimées pour des solutions de logement et d’hébergement accompagnés avec nos partenaires sur l’ensemble du territoire.

1500 places cela paraît beaucoup et pourtant c’est peu, au regard du temps qu’il faut aux familles pour devenir ou redevenir autonomes !

Depuis janvier de cette année, nous avons en charge pour la métropole le FSL (fonds de solidarité Logement) qui aide au maintien durable dans un logement en tenant compte de la nature des difficultés des ménages.

Nous essayons de répondre au mieux à la grande diversité des situations, parfois grâce à des passerelles avec le parc privé conventionné (liens privilégiés avec une AIVS).

Un constat toutefois : les parcours de vie rendent parfois difficiles les orientations vers un logement plus pérenne.

Le parc privé est aussi l’objet de nos préoccupations : création du cellule de lutte contre l’habitat indigne, avec un volet de travail important sur la précarité énergétique (pour les publics les plus fragiles, copropriétés en difficulté… Nous finançons des études, animons des dispositifs et aidons financièrement les particuliers.

Le traitement des immeubles dégradés et vacants sont des objectifs prioritaires du renouvellement urbain et pour cela le travail avec la cellule est essentiel. 

S’il semble utile d’examiner ce que nous avons accompli et ce que nous accomplissons dans notre collectivité, c’est bien pour continuer à tracer des perspectives d’avenir et d’action pour un droit au logement digne pour tous, celui-ci étant au cœur de la vie des gens.

Il doit redevenir une grande cause nationale, un barrage au creusement des inégalités. Cela signifie des moyens : retour des aides à la pierre au niveau nécessaire pour un Habitat public digne de ce nom, encadrement des prix du foncier destiné au logement social, par exemple.

Plus de 70% des Français ouvrent droit à l’accès au logement social et 81% souhaitent qu’on développe cette forme d’habitat.

Cela passe aussi par un renforcement de l’encadrement des loyers. Bien souvent la proportion des charges et du loyer dépasse 30% du budget des familles. Il y a 30 ans on considérait que les dépenses de logement ne devaient pas dépasser 20% du budget des ménages, 25% il y a 15 ans, aujourd’hui on considère que 30% des revenus d’un ménage sont acceptables.

Que dire du « reste à vivre » sinon qu’il est bien souvent un « reste  à survivre ».

Le logement doit permettre l’autonomie, pas l’inverse.

Enfin je voudrais souligner un point d’actualité. Alors que la trêve hivernale des expulsions a pris fin le 31 mars dernier, une circulaire interministérielle rappelle les obligations de prévention à mettre en place pour tendre au « zéro expulsion sans relogement » pour les locataires du logement social.

Inutile de rappeler ici que la préoccupation du bailleur principal du territoire BMH en l’occurrence est bien d’agir en amont dès les premiers signes de difficultés, afin d’aider les ménages à faire face à cette situation et à garantir le maintien dans le logement. En 2016  le taux a tout de même augmenté de 15%, même si la négociation et l’écoute permettent le règlement à l’amiable d’un tiers de ces situations.

Il à noter que la situation de ces ménages « exclue » du logement dit de droit commun se retrouve dans nos commissions CASAL qui réceptionnent  et traitent une part non négligeable d’entre elles.

Voilà pour conclure et laisser la place à la richesse des échanges.

Le mal logement n’est pas une fatalité, mais la route est encore longue et plus nous serons nombreux à nous y engager, plus nous produirons d’avancées concrètes qui serviront à celles et ceux pour lesquels nous agissons.

C’est à cela que va nous servir cette journée.

Je vous remercie. »

Notre santé n’a pas de prix !

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Mardi 7 Mars 2017, les personnels de santé appelaient à une journée nationale d’action intersyndicale pour la défense du Service public de la santé et de l’action sociale. Un rassemblement des personnels de santé et des usagers était organisé Place de la Liberté à 11h.

Urgences saturées, épidémie de grippe, mal vie au travail…de multiples expressions ces dernières semaines concrétisent la crise de l’hôpital. Les conditions de travail des personnels de santé et du social se détériorent de jour en jour. A Brest, plus de 40% du personnel hospitalier est ou a été en situation de souffrance au travail.

Ainsi mardi 7 Mars au matin, près de 500 personnes se sont rassemblées Place de la Liberté à Brest en soutien aux professionnels de santé. Les élu-e-s communistes se sont associés à ce rassemblement en dénonçant les politiques d’austérité infligées à l’Hôpital Public depuis de trop nombreuses années.

En effet, les plans d’économies drastiques et les contrats de retour à l’équilibre financier supprimant des milliers d’emplois au plan national ne sont pas sans effet sur les conditions de travail des personnels soignants. Plus largement, ils ont un impact négatif sur la qualité et la sécurité des soins pour les patients.

Il faut une politique authentiquement de gauche, alternative à l’austérité, promouvant le service public. Le remboursement à 100% par la sécurité sociale des soins prescrits est l’ambition à atteindre. Alors que les profits du CAC 40 battent tous les records, l’argent existe pour mettre en œuvre cette politique

Claude BELLEC et Jacqueline HERE, présentes, ont ainsi pu échanger avec les usagers et les personnels de santé sur ces enjeux.

Car oui, une autre politique de santé et de protection sociale est possible en France, qui replace l’humain au cœur du dispositif !

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Voici les articles parus dans le Télégramme et le Ouest France sur la manifestation, ainsi que la Tribune du groupe des élu-e-s communistes parue dans Sillage ce mois-ci.

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Paru dans Sillage du mois de Mars
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Paru dans le Télégramme le 08/03/201
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Paru dans le Ouest-France du 08/03/2017