Conseil Municipal du 10 décembre 2024 – Subvention à Diwan – Taran Marec

Monsieur le Maire, chers collègues,

Le breton et toutes les langues régionales sont un bien précieux.

Expression de la richesse de notre société et de son patrimoine, cette diversité linguistique n’a cessé de s’enrichir au fil du temps et constitue un atout pour notre pays.

En septembre dernier, le réseau Diwan, l’un des acteurs associatifs majeurs de la promotion et de l’enseignement du breton, s’est fait l’écho de graves difficultés financières susceptibles de mettre en péril son fonctionnement si rien n’était fait.

Face à l’urgence, le groupe communiste avait exprimé son soutien à cette association qui dispense un enseignement laïc, gratuit et immersif à plusieurs centaines d’élèves ici à Brest.

Dès le 12 septembre, nous avions appelé à ce que notre collectivité, avec d’autres, octroie une subvention exceptionnelle à cette association.

Naturellement, nous nous félicitons donc de cette délibération qui permettra d’aider le réseau à hauteur de 14 000€ et voterons donc en sa faveur.

Merci de votre attention

Conseil Municipal du 10 décembre 2024 – Réponse d’Éric Guellec à Bernadette Malgorn – Fonctionnement des associations d’éducation populaire

Monsieur le Maire, chers collègues,

Quelques éléments de réponse à apporter sur le fond à Mme Malgorn concernant le fonctionnement des associations d’habitantes et d’habitants qui animent et font vivre les équipements de quartier puisque, Mme Malgorn, vous semblez vous poser des questions sur leur fonctionnement à Brest.

Vous nous interpellez lors du précédent conseil, puis par courrier etpar voie de presse, quant à la conduite rapide et urgente d’une démarche d’évaluation des conventions pluriannuelles conclues en 2022 entre la Ville et les associations gestionnaires, les fédérations d’éducation populaire et la CAF.

Mme Malgorn, je souhaite vous rassurer : ce bilan, à mi parcours, au-delà des points annuels et des échanges qui interviennent très régulièrement au fil de l’année, ce bilan de mi-mandat est bien prévu dans les reconventionnements, écrit noir sur blanc dans ces conventions que vous aviez votés.

De longue date, nous avons construit un cadre partenarial dans lequel la Ville, et les associations d’éducation populaire qui gèrent et animent les équipements de quartiers se parlent, échangent et construisent, ensemble, en permanence, au service de l’épanouissement et de l’émancipation de tous les Brestois et de toutes les Brestoises.

Ce réseau associatif peut s’appuyer sur l’engagement de très nombreux Brestois et Brestoises, bénévoles et salariés associatifs, toutes et tous mobilisés au quotidien pour porter des dynamiques d’éducation populaire, des dynamiques associatives si essentielles au bien commun, dans tous les quartiers.

Lorsque surviennent des difficultés, des solutions sont recherchées par les différents partenaires.

Malgré cela… Vous posez aujourd’hui la question de la création d’une commission ad hoc pour mener une évaluation de l’action des équipements de quartier au sens large ou encore vous demandez la création d’une Mission pour examiner, dans toute sa globalité, le sujet du fonctionnement des équipements de quartier, leur situation financière, leurs modalités de gestion, etc, etc, etc.Vous semblez poser le postulat que tout cela serait opaque, que toutes ces actions en direction des brestoises et des Brestois des plus jeunes au plus âgés qui sont le cœur de l’engagement des 22 équipements de quartier à Brest serait une mauvaise dépense pour la ville…

Monsieur le Maire vous répondra peut-être tout à l’heure, s’il le souhaite, sur le formalisme de cette dernière demande qui ne respecte pas les dispositions du règlement intérieur de notre Assemblée.

A mon niveau, dois-je rappeler qu’une instance de travail et de dialogue, dénommé (COBRAAEQ), existe entre la Ville et les associations d’éducation populaire?

Ayant vocation à échanger sur les principes et contenus des conventions ainsi qu’à définir des programmes d’actions, cette instance permet une évaluation, un dialogue et des ajustements réguliers, dans une démarche d’amélioration et de renforcement constants des actions et des projets d’éducation populaire qui sont menés dans les quartiers par ces associations.

Cette instance fonctionne bien, vous avez d’ailleurs souligné l’important travail d’analyse et de concertation qui y a été réalisé, Mme Malgorn.

J’insiste sur ce point pour vous dire que l’évaluation, le dialogue, la recherche d’améliorations, elle se font en permanence.

Alors bien sûr, au delà de ce dialogue permanent, un bilan de mi-parcours de ces conventions pluriannuelles entre la Ville, les équipements de quartier et les fédérations d’éducation populaire et la CAF lorsqu’elles sont signataires, débute ce mois-ci.

Cela était mentionné dès le départ je le répète dans les conventions pluriannuelles… Nous avons l’habitude de respecter les cadres que nous établissons et de tenir nos engagements.

Notre souhait est que ce bilan de mi-parcours actuellement engagé avec les équipements tel que prévu dans les conventions soit présenté en commission plénière en 2025. Monsieur le Maire vous en a informé par courrier, courrier dont nous avons toutes et tous eu copie.

Le bilan pourra également donner lieu à des avenants aux conventions qui seront présentées en Conseil Municipal et qui, de fait, pourront, si vous le souhaitez, être de nouveau débattus à ce moment-là et sur lesquelles vous pourrez exprimer votre positionnement publiquement quant au soutien réaffirmé de la Ville de Brest à l’égard de ces associations.

Monsieur le Maire, voilà les réponses concrètes que je souhaitais livrer à chacune et chacun d’entre vous.

Permettez-moi néanmoins de placer le sujet sous un angle plus politique car c’est ce que, au fond, Madame Malgorn nous invite à faire…

A plusieurs reprises, Mme Malgorn, vous avez écrit :

« La situation se dégrade dans plusieurs de ces équipements »,

« Rien se serait pire que le déni sur les problèmes existants, tout doit être mis sur la table, dans l’intérêt même de ces structures.»

Ces propos m’ont questionné Madame Malgorn, comme ils ont questionné les représentants des associations, les militants associatifs, les salariés associatifs, avec lesquels j’ai pu discuter ces derniers jours et qui s’interrogent sur le sens même de ceux-ci.

Dans ces mots qui sont les vôtres, Mme Malgorn, résonne l’écho de la défiance et de la suspicion, exprimé à l’égard du monde associatif.

Vous savez, les associations ce ne sont que des Brestois et des Brestoises qui donnent beaucoup d’eux-mêmes pour les autres.

Ce n’est rien de plus mais c’est essentiel. Et c’est pour beaucoup d’entre elles, d’entre eux, l’engagement de toute une vie.

Par vos propos, Mme Malgorn, que cherchez-vous à dire à ces Brestois et à ces Brestoises qui s’engagent dans la vie associative de notre cité et qui fréquentent ces lieux d’émancipation individuelle et collective ?

Que cherchez vous à leur dire sinon qu’ils ne peuvent pas ou qu’ils ne pourraient plus faire confiance au fonctionnement des structures associatives qui gèrent et animent ces équipements?

Quoiqu’il en soit, vos propos, Mme Malgorn, contrastent profondément avec la dynamique que portent toutes les structures associatives brestoises au quotidien et que la Ville de Brest s’honore à soutenir à la hauteur des défis auxquels doivent faire face aujourd’hui toutes ces associations.

Des associations d’horizons divers, d’une extrême richesse, toutes nécessaires à la fois comme expression de la démocratie et comme garantie de celle-ci.

Vous ne le saviez peut-être pas, Mme Malgorn, mais se tenait la semaine dernière la Première Edition des Assises de la Vie Associative et de l’Education Populaire, co-organisée par la Ville de Brest et le Mouvement Associatif de Bretagne, et ouverte au Quartz jeudi soir par M. le Maire.

Des centaines de participants et de participantes qui ont à coeur la défense et la promotion des libertés associatives, ont pu échanger sur les grands défis d’avenir qui se posent au fait associatif.

Mutation du bénévolat, enjeu démocratique, financement, liberté associative, changement climatique, solidarités. Conférences, tables rondes, ateliers, les débats ont été nombreux et riches.

J’en profite pour saluer cet engagement permanent, remarquable, des militants associatifs, bénévoles et salariés, en ce qu’il permet d’œuvrer à la formation de citoyens libres et responsables, émancipés, s’appropriant la chose publique, acteurs d’un projet de société de justice, de progrès social et écologique.

Puisque vous étiez absente de ces Assises et que votre groupe politique n’y était pas représenté, je vous ai apporté un exemplaire du rapport du CESE sur le monde associatif en France, je vous le tiens à disposition…

Rapport adopté à l’unanimité, rapport fort instructif dont les conclusions ont contribué à alimenter le débat des ateliers sur les solutions d’avenir à engager collectivement pour répondre aux défis du monde associatif.

Quel constat dresse le rapporteur de ce document national, Martin Bobel, que nous avions invité aux Assises?

Très succinctement, il nous dit :

Le tissu associatif est grandement fragilisé.

En quinze ans, les subventions ont baissé de 41% sur le territoire national.

De plus en plus fréquemment, les associations se retrouvent en concurrence entre elles lorsqu’elles ne doivent pas faire face à des cadres extrêmement contraignant, encadrant et limitant leur capacité d’expression, au détriment de l’engagement citoyen et de la démocratie.

A l’inverse de la portée de vos propos et de ce qu’on peut penser que vous cherchez absolument à démontrer, Mme Malgorn, l’intitulé de ce rapport concernant le monde associatif est très clair, limpide :

«Renforcer le financement des associations : une urgence démocratique! ».

Notre équipe progressiste se situe à rebours des logiques marchandes, à rebours également de ceux qui voudraient que les associations ne deviennent que de simples exécutants des politiques publiques, le doigt sur la couture du pantalon, comme le disait à juste titre François Cuillandre lors de l’ouverture des Assises jeudi soir.

A la ville de Brest, notre équipe municipale, notre équipe majoritaire, agit pour renforcer la capacité d’expression et d’intervention du monde associatif, dans toute sa diversité.

Elle agit pour renforcer la place et le rôle des associations à Brest, pour ce qu’elles font mais aussi pour ce qu’elles sont.

Elle agit pour le renforcement d’un modèle d’équipements de quartiers associatifs pluriels et dynamiques, qui apporte une vitalité sur bien des aspects et au coeur duquel se situe la liberté associative, principe que promeut notre équipe.

Plutôt que la mise en concurrence, nous œuvrons aux coopérations, avec l’action de la Maison de associations de la Ville de Brest, avec les Assises de la Vie Associative et de l’Éducation Populaire, avec la Charte d’Engagement Réciproque qui sera soumise en début 2025 au vote de notre assemblée.

Plutôt que l’insécurisation permanente que constituerait la généralisation de l’appel à projets, nous désirons que le conventionnement pluriannuel soit la norme pour apporter visibilité et lisibilité.

Plutôt que l’austérité, nous avons fait le choix de renforcer le soutien financier global de notre collectivité aux associations, et notamment en direction de ces associations d’éducation populaire gérant et animant les 22 équipements de quartiers.

Plutôt que la défiance et la caporalisation, nous misons sur la confiance partagée, objet du dialogue permanent que nous entretenons au sein du COBRAAEQ, objet du travail mené avec le monde associatif autour d’une Charte d’Engagements Réciproques, présentée il y a quelques jours durant les Assises.

Nous aurons à nous prononcer tout à l’heure sur des délibérations concernant le soutien de notre collectivité aux associations d’éducation populaire.

Nous souhaitons bien sûr un vote unanime des différentes composantes politiques de ce conseil, qui démontreraient ainsi que chacun et chacune a saisi les véritables enjeux auxquels font face ces associations.

Monsieur le Maire, je vous remercie.

Conseil Municipal du 10 décembre 2024 – Dénomination d’une rue au nom de « Mélinée et Missac Manouchian » – Eric Guellec

Monsieur le Maire, Chers collègues,

Le changement de dénomination de rue proposé dans le secteur de Brest-Centre, était évidemment nécessaire au regard des témoignages et des révélations publiques concernant les violences sexuelles commises par  l’Abbé Pierre.

Il est aujourd’hui proposé de renommer cette rue : « Rue Mélinée et Missak Manouchian ».

Le 21 février 2024, par décision du Président de la République, Missak et Mélinée Manouchian, héros et héroïne de la Résistance durant la 2nd Guerre Mondiale, faisait leur entrée au Panthéon.

Réunis au Monument aux Morts, aux côtés des organisations politiques et syndicales, dont le Parti Communiste Français, le Mouvement Des Jeunesses Communistes et la CGT, plusieurs d’entre nous célébraient l’engagement héroïque des Manouchian, militant et militante communistes, internationalistes et antifascistes, durant la 2 nd Guerre Mondiale ;

Missak Manouchian est fusillé par les nazis le 21 février 1944 alors que Mélinée Manouchian est cachée par la famille Aznavour et échappe à ce destin funeste.

80 ans plus tard, leur entrée au Panthéon marque la juste reconnaissance de la Nation à la Résistance communiste et étrangère FTP M.O.I, à son apport dans l’histoire de notre pays.

En faisant le choix de nommer du nom de Mélinée et Missak Manouchian une rue de notre ville, notre collectivité s’inscrit aujourd’hui dans cette reconnaissance.

Au travers ce geste mémoriel qui nous semblait essentiel, nous voulons aussi dire que c’est une certaine idée de la France, celle des Droits de l’Homme, celle d’un projet politique d’émancipation et universaliste hérité notamment de la Révolution, celle d’une France de l’accueil, qui est consacré.

Je vous remercie de votre attention.

Tribune Sillage : « Aux côtés du monde du travail »

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Aux côtés du monde du travail

 

Depuis la rentrée, les mouvements sociaux se multiplient dans notre pays. La suppression de 1200 postes chez Michelin et la fermeture de son site à Vannes, le plan de licenciement de 2400 postes chez Auchan, ne sont que les faces visibles de l’iceberg des licenciements en France.

Aucun secteur, aucun territoire, ne sera épargné.

D’après la CGT, dans le Finistère, ce sont des dizaines d’emplois qui sont immédiatement menacés : chez Saupiquet, chez Autoliv… A l’échelle du pays, le syndicat annonce un risque de disparition de plusieurs centaines de milliers d’emplois.

Notre territoire n’échappe pas à cette avalanche de plans sociaux. A Brest, Géant a récemment dû baisser le rideau. A Plouzané, les salariés de l’usine Autocruise redoutent une fermeture.

Dans la fonction publique, même tonalité…

Les agents sont dans le collimateur gouvernemental. Après avoir salué la nomination de Musk dans l’administration Trump, le ministre de la Fonction Publique a décidé de s’inspirer de sa ligne libérale pour mettre les fonctionnaires au régime sec : gel du point d’indice, suppression de postes, etc.

Toujours sur le pont, ce sont pourtant ces derniers qui permettent à nos villes, à nos territoires, à notre pays, de fonctionner au quotidien, de tenir debout en temps de crise.

Dans ce contexte social lourd, les syndicats s’organisent. Notre groupe soutient les revendications des travailleurs et des travailleuses, du public comme du privé, qui se mobilisent pour la protection de leur emploi et la conquête de nouveaux droits.

Face à une situation sociale tendue, le politique a en effet une grande responsabilité pour protéger l’ensemble du monde du travail dont l’industrie.

Au sein de nos collectivités, c’est notamment dans cet esprit volontariste que nous avons agi et que nous continuerons d’agir en faveur d’une réindustrialisation de notre territoire (EMR, réparation navale, abattoir du Faou,etc) synonyme d’emploi local.

Le groupe des élues et élus communistes

Eric Guellec, Mathilde Maillard, Jacqueline Héré, Jean-Michel Le Lorc’h, Sandra Le Roux, Taran Marec, Anne-Catherine Cleuziou, Claudie Bournot-Gallou

Brest Métropole fête ses 50 ans

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Hier soir, en présence de nombreuses personnalités, notre métropole a soufflé ses 50 bougies. Ce fut l’occasion de revenir sur 50 ans de construction de notre communauté urbaine devenue métropole.

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Depuis sa création, le travail collectif a permis de grandes réalisations et a fait évoluer notre territoire de manière significative.

Cette soirée a également permis de souligner le travail de coopération initié par Georges Lombart et poursuivi par Pierre Maille et François Cuillandre. Le fruit de ce travail se retrouve aujourd’hui dans le quotidien de tous les habitants de la métropole : voiries, petite enfance, gestion des déchets, eau, transports, lieux culturels et grands événements sont au cœur des politiques publiques portées par la Métropole.

Grâce à son savoir-faire, hier comme aujourd’hui, Brest Métropole rayonne en France et dans le monde.

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Tribune Sillage – Novembre 2024

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Améliorer vos conditions de vie

Etre bien dans sa ville, c’est pouvoir compter sur des services publics et des dispositifs de solidarité de qualité, au cœur des quartiers, accessibles à toutes et tous. En cette période de difficultés, alors que l’inflation continue de rogner le pouvoir d’achat, chaque Brestois et chaque Brestoise doit pouvoir vivre dignement.

Avec la majorité, nous avons agi pour améliorer concrètement et sensiblement votre quotidien en menant des politiques de progrès social de haut niveau.

Ici à Brest, la solidarité est partout. De nombreux dispositifs et de nombreuses mesures ont vu le jour.

Depuis 2 ans, nous avons décidé d’un gel des tarifs jeunes et d’une diminution de 3% des tarifs solidaires, dans les transports en commun. Un pas vers la gratuité ?

Tout récemment, notre collectivité octroyait à plusieurs milliers de bénéficiaires un chèque de 20€ pour alléger les factures d’eau.

Dernièrement, c’est la diminution du prix de la cantine qui a profité à 3 familles sur 4.

Face à la crise du logement et de l’énergie, le montant des aides octroyées pour le paiement des factures d’énergie et des loyers a été augmenté de 50%.

A côté de cela, nous veillons à ce que les services publics locaux se déploient sur tout le territoire, en proximité, dans tous les aspects de votre vie quotidienne. C’est un impératif.

Deux exemples ? Nous avons fait le choix d’augmenter le soutien octroyé aux associations d’éducation populaire qui interviennent dans les équipements de quartier au moyen d’actions variées. Face aux incivilités, notre collectivité a par ailleurs créé une brigade de tranquillité publique dont les effectifs vont augmenter pour davantage de présence sur l’espace public. Nous en ferons le bilan prochainement.

Malgré un contexte budgétaire difficile, vous pouvez compter sur les élus communistes pour continuer à prendre toutes les initiatives et les décisions qui iront dans le sens d’un renforcement du service public local.

Le groupe des élues et élus communistes

Eric Guellec, Mathilde Maillard, Jacqueline Héré, Jean-Michel Le Lorc’h, Sandra Le Roux, Taran Marec, Anne-Catherine Cleuziou, Claudie Bournot-Gallou

11 novembre 2024

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Ce lundi 11 novembre 2024, nous avons commémoré les 106 ans de l’armistice de la guerre 1914-1918. Ce jour là, à la onzième heure, du onzième jour, du onzième mois de l’année sonnait la sonnerie du cessez le feu.

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Deux cérémonies ont eu lieu, à la gare et au Monument aux morts, rassemblant une centaine de personne pour honorer la mémoire de ceux qui se sont battus pour la France mais également afin de rendre hommage à l’ensemble des soldats français tués en opérations à travers les guerres.

Eric Guellec, deuxième adjoint au maire, en charge des associations patriotique a durant l’ensemble des cérémonies, représenté François Cuillandre, maire de Brest.

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Les lycéens du Lycée Naval ont par ailleurs grandement participé à cette cérémonie, lisant les textes de l’Union nationale des combattants et de l’Association nationale des anciens combattants et résistants.

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Festival Deus’ta !

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Ce week-end, ce tenait le festival Deus’ta ! aux ateliers des capucins. Plus de 28 000 personnes s’y sont rendus pour cet événement majeur de la culture bretonne à Brest.

Le festival permet chaque année de financer le soutien au système éducatif bretonnant du pays brestois. La Ville de Brest apporte chaque année son concours en son soutien à cette organisation importante dans la vie culturelle et bretonne de notre ville. Naturellement, Taran Marec, conseiller délégué en charge de la vitalité de la langue bretonne s’y est donc rendu afin d’échanger avec les organisateurs et rappeler le soutien de la Ville dans le promotion et la transmission de la langue bretonne auprès des jeunes et de l’ensemble de la population.

Conseil de la métropole du 18 octobre 2024 – Quartier métropolitain du Froutven – Claudie Bournot-Gallou

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Monsieur le Président, mes chers collègues,

Au-delà du projet de nouveau stade qui – comme vous le savez – ne nous convient pas en l’état et sur lequel nous aurons l’occasion de revenir, nous avons toujours souhaité que les porteurs privés (notamment HoldiSport et Pierre Promotion) des projets du secteur participent au financement de ces aménagements publics.

Ce n’est pas le cas.

De fait, le groupe des élus communiste s’abstiendra sur les deux délibérations à suivre, 35 et 36.

Je vous remercie.